Tenir dans l’enseignement ou comment persister dans sa vocation

La crise sanitaire que nous traversons, par ses aspects systémiques, exacerbe les tensions dans l’exercice de la profession ; elle en magnifie certains aspects et en noircit d’autres.

Quelles stratégies s’offrent aux enseignants pour persister dans leur vocation ? Quels dispositifs sont mis en place pour les aider à garder le cap ? Comment appréhender la réalité quotidienne et professionnelle sans être usés par les conditions de travail ? Voilà à quoi nous nous sommes intéressés dans cette analyse.

A l’instar d’autres professions à l’identité fébrile, incertaine voire vacillante, dont on mesure l’importance en ces temps de pandémie mais pour lesquelles toute réelle valorisation financière est exclue [pensons aux métiers de l’accompagnement médical] , l’enseignant est, dans sa pratique, remis en question à chaque nouvelle législature. Aujourd’hui encore plus qu’hier, il est l’objet de réformes qui concernent sa formation initiale, sa formation continuée ou l’exercice même de sa fonction.

L’application du décret pour un enseignement d’excellence rencontre son pesant de résistance au changement- et pas seulement de la part des pantouflards-, ainsi que des adaptations sur le bord tranchant de l’expérience de terrain et de la réalité contextuelle. C’est véritablement l’éthos[NOTE 1] professionnel des enseignants qui est en question et se voit animé par des tensions.

Tensions entre l’identité professionnelle historique où existait une légitimité scientifique relative, -pensons à la figure charismatique que revêtait dans l’histoire contemporaine l’Instituteur de village par exemple, reconnue socialement-; et le fruit de son évolution : l’éthos contemporain qui se caractérise par une complexification de la fonction face à des attentes sociales de plus en plus vives, où l’on assiste de plus à une prolétarisation[NOTE 2] des professionnels de l’enseignement.

Du recul et un zeste de psychologie face à la tragédie

Ce n’est pas le moindre des mérites, quand on est enseignant, que de réagir avec humour, légèreté, élégance voire détachement aux sarcasmes subis au quotidien[NOTE 3]. « On peut y travailler quasi une carrière complète sans jamais vraiment y arriver » m’explique avec émotion Laurent Berger[NOTE 4], enseignant de français dans un établissement du sud de Bruxelles, photographe et poète. C’est une vielle rengaine que de dire combien l’image de l’enseignant est peu enviable alors qu’il est envié ad nauseam pour ses soi-disant avantages, par ailleurs épinglés comme des privilèges éhontés. Il s’agit donc de prendre sur soi et de faire avec cette réputation peu désirable.

La fonction publique est décriée depuis les années 80 et après des années de bashing savamment orchestrées par les médias traditionnels avec la bénédiction des adeptes de la doxa néolibérale, selon l’adage éculé de « l’Etat doit faire mieux avec toujours moins de moyens » ; c’est presque devenu une chronique de la haine ordinaire. Alors rions-en autant que faire se peut même si pour ma part je ris jaune, surtout quand je constate les données chiffrées peu enviables du décrochage et de l’abandon des jeunes enseignants à une fonction qui auparavant était linéaire ou presque[NOTE 5] ; « 35,6 % des enseignants débutants abandonnent dans les cinq premières années et un enseignant novice sur cinq quitte la profession dans la première année » nous explique Marine Goethals dans son étude.

Eduquer envers et contre tout… virus !

En s’attardant quelque peu encore sur la période particulièrement éprouvante de cette crise sanitaire qui perdure, nous épinglerons un révélateur parmi d’autres, dans cette injonction de continuité pédagogique[NOTE 6] martelée par les instances dirigeantes. Ce qui s’est révélé confirmé et aggravé est une « logique d’indifférence aux différences[NOTE 7] » qu’évoquaient Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron dans les années 60, dans laquelle les enseignants et les étudiants ont été pris en otages, et contre laquelle les enseignants ne restent pas sans réagir.

En ces temps troublés ; derrière les slogans creux, quasi enchantés tels que « ma classe à la maison », l’étudiant devenait « auto-entrepreneur » de ses savoirs et l’enseignant pouvait presque résumer sa mission à un coaching et un monitoring à distance. On en avait presque oublié la culture de contrôle et d’évaluation des enseignants qui sévissait de plus en plus, par ailleurs renforcée par la culture managériale, les processus d’auto-évaluation et le plus important, l’objectivation de l’évolution des apprentissages des étudiants par l’impératif de réussite.

Du pilotage par objectifs à la relation singulière et sans cesse réinventée entre l’enseignant et l’élève, il y a un monde, un grand écart que le numérique ne fait que renforcer. C’est la relation pédagogique qui est au cœur du métier et celle-ci est de proximité[NOTE 8], elle ne se passe pas du réel, elle est éminemment physique. Ce qui nous arrive aujourd’hui est peut-être la pire des choses pour le métier d’enseignant depuis le choix de la rationalisation des moyens alloués à l’éducation[NOTE 9].

Face à la mort des savoirs vifs[NOTE 10] résultant de la dématérialisation des apprentissages, cumulée à la perte relative de l’illusio[NOTE 11] pour les étudiants, il est consternant de constater que le contexte actuel est propice à imposer des nouvelles mesures liberticides. Ces mesures renforcent l’emprise du néolibéralisme sur notre société[NOTE 12], selon une logique d’instrumentalisation des chocs, qu’ils soient sanitaires, sociaux ou encore climatiques, par les élites. Tenir, dans ces conditions où le confinement renvoie chacun chez soi, est possible aussi parce que la profession d’enseignant conserve un taux de syndicalisation élevé et que l’esprit corporatiste y demeure vif, avec une solidarité active et bien réelle.

Des leviers existent. Ils ont déjà prouvé leur pertinence

Anne-Laure Garcia et Françoise Lantheaume,[NOTE 13] proposent un fil rouge de résistance à cette usure dans l’exercice professionnel en distinguant cinq moyens d’action. Analysons ces derniers, tout en y intégrant d’autres éléments réflexifs :

Favoriser et soutenir une posture réflexive et critique tout au long du parcours professionnel.

Cette posture permettrait une appropriation des réformes et donc de l’évolution des pratiques[NOTE 14]. En mobilisant ses réseaux pour échanger sur ses pratiques et sur les défis quotidiens, il serait alors possible pour l’enseignant d’inscrire son identité professionnelle dans un récit riche de sens, même si la répétition de ces interactivités revêt une dimension cumulative qui ne permet pas nécessairement leur formalisation.

L’analyse et la distanciation seraient à l’œuvre davantage dans une organisation propre à l’institution scolaire, avec ou sans personne-ressource extérieure dans des groupes comparables chers à Etienne Wenger, les fameuses « communautés de pratiques[NOTE 15] ». Cette dynamique n’est certainement pas neuve. Cependant son organisation récurrente passe désormais comme un incontournable, entre autres dans le cadre du travail collaboratif tel qu’imposé par les directions, en fonction des impératifs décrétés chez nous par le pacte pour un enseignement d’excellence. Cette dimension rejoint dès lors l’approche mise en pratique par le GAAPE.

Accompagner les débuts de carrière.

Certains leviers structurants sont développés par des enseignants eux-mêmes. Ainsi, des enseignants se mettent à tutorer les plus jeunes de façon plus systématique sous les conseils avisés de l’association GAAPE (Groupe d’Accueil et d’Accompagnement des Professeurs) dont Françoise Meurant est la cheville ouvrière[NOTE 16]. Constatant que plus de 40 % des jeunes enseignants quittent la carrière dans les cinq premières années d’exercice professionnel, elle a mis en place un dispositif d’accueil et d’accompagnement entre pairs au sein des établissements. Ce dernier est basé sur un suivi formel de codéveloppement via des réunions confidentielles où l’attitude est empreinte de bienveillance et de non-jugement.                                                    

Des projets de tutorat sont implémentés au sein des établissements d’enseignement, quel que soit le réseau auquel ils se rattachent.

Faire de la routine une source de créativité.

Conformément à ce qu’affirment  A. L. Garcia et F. Lantheaume[NOTE 17], la stabilité relative de la fonction d’enseignant permet sans doute une certaine prévisibilité due aux conditions de travail. Celle-ci se renforce d’ailleurs avec l’ancienneté. D’aucuns profitent de ce relatif confort d’exercice pour innover, inventer, expérimenter, prendre des risques. On peut apprécier les habitudes d’ancrages méthodologiques quand elles permettent d’atteindre des objectifs pédagogiques à la satisfaction de tous, enseignants et étudiants. Les laboratoires expérientiels de pratiques au quotidien sont d’autant plus dynamiques dans leurs innovations qu’ils sont reconnus par les chefs d’établissement et les autres instances. En amont de cette reconnaissance, et comme nous l’explique Irène Pereira[NOTE 18], qui plaide pour une pédagogie de la résistance, digne héritière et dans la lignée de la pédagogie des opprimés de Paulo Freire : « la résistance à des prescrits par trop contraignants,une créativité réactive débouchant sur des innovations…[NOTE 19] »

Individualiser l’articulation entre temps professionnels et temps privés.

Cette disposition va cependant rarement au-delà des « agencements propres au sein de chaque établissement ». Il s’avère impossible de tenir compte de chaque individualité dans ses turpitudes et ses attentes afin de procéder par objectivisation et modélisation de l’interface entre travail et vie personnelle. Cette articulation pourrait prévenir l’usure des enseignants dont une part du travail pendant les congés scolaires, mêle vie privée et professionnelle sans que cela soit réellement pris en compte.

Mailler l’accès aux sources de reconnaissance.

Toujours selon A. L. Garcia et F. Lantheaume, la reconnaissance du travail et des compétences seraient « défaillantes[NOTE 20] » quand bien même elles constitueraient une des conditions du maintien dans la profession. Ce maillage de gratification des qualités professorales peut se manifester de manière horizontale (entre pairs) et verticale (direction, pouvoir organisateur, tutelle politique…). Sans parler bien entendu de la reconnaissance, souvent la plus importante : celle des étudiants. Les auteurs mettent l’accent sur cette possibilité conditionnée par la participation des enseignants à ce « cercle vertueux » par des contacts réguliers avec les « pourvoyeurs de reconnaissance[NOTE 21] » (sic). Fort bien,… Mais il s’agirait d’inclure dans l’organisation de l’évaluation des équipes professorales la prise en considération du besoin élémentaire de… reconnaissance.

Modifier ses conditions de travail.

Aujourd’hui, avec la crise sanitaire, le basculement de l’enseignement à l’ère numérique se généralise, entraînant jusqu’aux plus réfractaires d’entre nous. Les cours en distanciel, en visioconférence, dont certains se gargarisent alors que d’autres en souffrent faute de maîtriser suffisamment l’outil, transforment radicalement les conditions d’exercice de la profession, sous la pression d’une urgence qui profite aux fournisseurs de ces services.

Oublions-nous pour un temps le manque de moyens avec lesquels les écoles ont souvent dû fonctionner, la vétusté des locaux et du matériel à disposition, les horaires à cheval sur deux, trois, voire quatre écoles différentes et les classes surpeuplées ? A écouter la Ministre de l’enseignement obligatoire en Fédération Wallonie-Bruxelles, « rien ne remplacera jamais l’école et les cours en présentiel ». Mais nous reviendrons à coup sûr, sur l’amélioration des conditions de travail comme impératif motivationnel dans l’exercice du métier lorsque la pandémie sera derrière nous.

Jalonner les fins de carrière (mobilité, diversifier les engagements).

Il serait faux de prétendre qu’un enseignant expérimenté et qui fait donc partie des anciens n’a jamais ressenti le fameux syndrome du perroquet. Ainsi, m’est-il arrivé de m’installer dans une forme de routine «ronronnante» et relativement confortable, où le déroulé du cours s’assimilait – comment ose-t-il ? – à un long fleuve tranquille, juste interrompu par les questions des étudiants. Cet arrière-fond sécurisant me permettait surtout un certain répit dans la gestion d’une journée de cours.

On est toutefois très loin du cliché de l’enseignant usé et démotivé qui annone sa leçon dans un ennui mortel. Nombreux sont les enseignants qui diversifient les formes d’engagement afin de contrecarrer les aspects répétitifs de leur métier. Certains optent pour une mobilité ascendante en postulant vers des fonctions de direction, variant ainsi teneur et intensité du travail, d’autres se recyclent en cours de carrière afin de se ressourcer, au-delà des formations continuées sur base volontaire ou obligatoire.

Une conscience politique sans cesse réinventée.

A l’opposé de l’individualisme méthodologique -avéré dans la pratique réflexive du métier, il existe de plus en plus une pratique collaborative, que celle-ci émane d’initiatives du terrain tel que le GAAPE déjà mentionné, ou qu’elle soit imposée par les projets d’établissement voulus par le pacte d’excellence. De cette manière, l’enseignant adopte progressivement la posture « politique » suivante : un individualisme de groupe, basé sur le besoin d’une liberté (une liberté de contrebande[NOTE 22]) composée d’écarts plus ou moins faibles à la norme, à préserver vaille que vaille, et combinés à une conscience collective de classe.

Alors que le taux de syndicalisation en France dépasse les 30 %[NOTE 23], il avoisinerait les 50 % parmi nos enseignants belges, dans un climat de stigmatisation constant[NOTE 24] qui explique peut-être en partie cette situation. « Depuis la fin des années 1980, le thème d’une Ecole qui va mal imprègne le discours public, celui des responsables éducatifs, des médias, et de la recherche en éducation. Deux sous-thématiques lui sont généralement associées : les élèves et leur malaise face à l’institution scolaire, les enseignants et leur malaise devant les transformations du rapport au savoir et à l’autorité [NOTE 25]».

Enfin, il y aura toujours ceux qui utilisent cette possibilité vitale à bon nombre d’enseignants de mettre à profit leur temps libre pour exercer des activités épanouissantes, gratifiantes[NOTE 26], de tous ordres, qu’elles soient artistiques, sportives, éducatives ou encore philanthropiques.  Faire société n’est pas que l’expression d’une activité à finalité vocationnelle; faire société favorise en même temps le développement de facettes riches et contrastées de la personnalité.

 NOTES / REFERENCES

[NOTE 1] « L’éthos professionnel pouvant être défini par l’ensemble des caractères communs à un groupe d’individus appartenant à une même profession, notamment en termes de rapports au travail et à la famille, est une notion socialement construite » in Les professions face aux enjeux de la féminisation, Octares éditions, Nathalie Lapeyre, 2006, P 54.

[NOTE 2] Voir le développement de ce concept par le regretté philosophe Bernard Stiegler et repris dans mon analyse de mars 2019 toujours disponible sur le site du Grain : La disruption à l’école, un mal pour un bien ? http://www.legrainasbl.org/index.php?option=com_content&view=article&id=594;la-disruption-a-l-ecole-un-mal-pour-un-bien&catid=9&Itemid=103

[NOTE 3] https://www.facebook.com/potschke, post publié le 17 octobre 2020 que je vous invite à découvrir. Son profil est public et son auteur, écrivain. En voici un morceau choisi : « À la vérité, je crois que si les enseignants ont cette habitude de se marier entre eux, c’est parce qu’on ne vous comprendra jamais plus exactement dès lors que vous avez commencé à faire cours. Ce qu’il se passe dans une salle de classe est si complexe, subtil, que tous ceux qui en parlent à votre place vous agacent. Devenir enseignant, c’est devenir incompris dans un monde qui croit savoir mieux que vous ce qui fait votre quotidien, et ce que vous devriez dire, faire, enseigner. Les uns vous reprochent vos vacances, d’autres votre lâcheté supposée, et d’autres encore la teneur de vos cours. Que s’imaginent-ils ? Qu’on entre dans la fonction publique comme dans un grand lit douillet et qu’il n’y a plus qu’à y faire ce qu’on veut ? Le plus souvent, c’est simplement agaçant ; parfois, quand d’aucuns se sentent en droit de s’offusquer, c’est une porte ouverte au pire. C’est aussi le début d’une tragédie… »

[NOTE 4] Laurent Berger est enseignant et chroniqueur sur le site entreleslignes.be.  Il est également photographe, performer et poète.

[NOTE 5] Goethals Marine, Parcours du débutant, parcours du combattant. Jeunes profs en décrochage scolaire, Bruxelles : CPCP, Analyse n° 383, 2019, [en ligne :] http://www.cpcp.be/publications/profs-decrochage.

[NOTE 6] Voir le témoignage fidèle de mon expérience d’enseignant en temps de covid 19 dans une autre analyse de ce numéro.

[NOTE 7] L’éducation aux temps du coronavirus » Ouvrage collectif sous la direction de Stéphane Bonnéry et Etienne Douat, La dispute, 2020, p. 19.

[NOTE 8] Ibidem, p. 36.

[NOTE 9] Christophe Hélou et Françoise Lantheaume, La souffrance des enseignants. Une sociologie pragmatique du travail enseignant, PUF, « Education et société », Paris, 2008.

[NOTE 10] Ibidem,p. 124.

[NOTE 11] Pierre Bourdieu, Raisons pratiques, Sur la théorie de l’action, Seuil, Paris, 1994, p. 153 cité par S. Bonnery et E. Douat dans L’éducation aux temps du coronavirus », La dispute, 2020, p. 129. Une partie des apprentissages impliquent, pour être réalisés, la production de l’illusio. Pour que les étudiants soient pris dans cette dynamique ludique, il faut que demeure la croyance que ce jeu en vaille le coup dans et autour des agents de socialisation de la vie estudiantine.

[NOTE 12] Naomi Klein, La Stratégie du choc, La montée d’un capitalisme du désastre, LEMEAC/Actes Sud, Paris, 2008.

[NOTE 13] Durer dans le métier d’enseignant. Regards franco-allemands. Ouvrage collectif sous la direction de Anne-Laure Garcia et Françoise Lantheaume. Academia L’harmattan, 2019.

[NOTE 14] Ibidem, p. 236.

[NOTE 15] Wenger E., Communities of Practice : Learning, Meaning, and Identty, Cambridge, University Press.

[NOTE 16] Présentation du GAAPE sur : https://www.w-b-e.be/soutien/accueil-et-accompagnement-des-nouveaux-enseignants/lequipe-gaape/

[NOTE 17] Ibidem, p 238.

[NOTE 18] Diplômée en philosophie et habilitée à diriger des recherches en sociologie, Irène Pereira est chercheuse en sociologie et en philosophie. Elle enseigne également la philosophie à l’ESPE de Créteil. Elle est coprésidente de l’IRESMO et auteure de près d’une dizaine d’ouvrages parmi lesquels Les Grammaires de la contestation (La Découverte, 2010).

[19]Pereira, I. Une pédagogie de la résistance, Diotime n°70, 2016, en ligne sur http://www.educ-revues.fr/DIOTIME/AffichageDocument.aspx?iddoc=107853

[NOTE 20] Ibidem, p. 240.

[NOTE 21] Dejours C., L’évaluation du travail à l’épreuve du réel. Critique des fondements de l’évaluation, Paris, Quae.

[NOTE 22] Philippe Perrenoud. « Le métier d’enseignant entre prolétarisation et professionnalisation : deux modèles du changement », Perspectives vol XXVI n°3, 1996, p 543-562.

[NOTE 23] L’éducation au temps du coronavirus, sous la direction de Stéphane Bonnery et Etienne Douat, La Dispute 2020, p. 137.

[NOTE 24] LANTHEAUME F. et HELOU C., La souffrance des enseignants, pp. 3-4.

[NOTE 25] La Ligue de l’Enseignement et de l’Education permanente, Le métier d’enseignant: toute une histoire, étude 2014, en ligne sur https://ligue-enseignement.be/assets/ETUDE2014.pdf P. 76

[NOTE 26] Uyttersprot, B., D’Opération villages roumains aux Colis du cœur : une solidarité alimentaire impérative dans un monde perpétuellement en crise sanitaire, Le GRAIN, Octobre 2020

https://www.legrainasbl.org/index.php?option=com_content&view=article&id=641;d-operation-villages-roumains-aux-colis-du-coeur-une-solidarite-alimentaire-imperative-dans-un-monde-perpetuellement-en-crise-sanitaire&catid=9&Itemid=103

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