Alors que je contacte Pierre Hemptinne pour lui demander d’échanger dans le cadre de cet article, il me répond en joignant à son mail une interview[1]Johan Faerber : « Parcoursup, c’est la maltraitance numérisée », 19 janvier 2023, Libération de Johan Farber, autour de la plateforme française Parcoursup. Depuis 2018, ce nouvel outil numérique est devenu un passage obligé pour la formulation des vœux d’établissements supérieurs des futur.e.s étudiant.e.s . Après quatre années d’utilisation, Johan Farber conclut dans sa recherche que cette plateforme fait preuve de « maltraitance numérisée » car productrice de stress, de compétition et d’accroissement des inégalités.
Si Pierre Hemptinne m’invite à prendre connaissance de cet article, c’est qu’il considère que la plateforme Parcoursup est l’illustration d’un outil numérique imposé et inadéquat. Lors de notre rencontre, il fait le parallèle avec le domaine de la santé : « Tous les outils qui s’installent dans les pratiques des professionnel.le.s ne proviennent pas de demandes qu’ils et elles ont formulées. Aucun.e soignant.e n’a demandé à avoir, dans les chambres des personnes âgées, un boîtier à badger afin de savoir combien de temps il ou elle a passé à réaliser les soins. Ces dispositifs sont là pour économiser de la main d’œuvre, pour rentabiliser les actes médicaux… »
Et d’autres exemples existent : les outils de réunions à distance qui indiquent d’un point vert à côté de votre photo si vous êtes connecté.e ou non, le QR code que doivent scanner les aides à domiciles pour renseigner le début et la fin de la visite… Nous nous en rendons compte depuis une vingtaine d’année, le numérique s’insinue partout. Il n’est plus l’exception mais la norme. Ne plus être connecté•e au réseau est extraordinaire.
Face à ce système puissant, orienté par une logique et une idéologie de rentabilité, la marge d’action en tant qu’individu ou association se restreint. Pierre Hemptinne a souhaité s’attaquer à ce chantier dantesque à travers la création du collectif PUNCH.
Un collectif qui apprend et critique
En 2015, Pierre Hemptinne s’implique dans le processus de consultation « Bouger les lignes » initié par Alda Greoli, Ministre de la culture de l’époque. Cette opération de deux ans, qui visait à réformer les politiques culturelles en Fédération Wallonie-Bruxelles, a donné l’occasion à Pierre de Hemptinne d’entrer en contact avec le cabinet et la ministre : « On voyait bien que l’objectif de la numérisation dans le secteur culturel était l’implémentation de la logique des industries créatives numériques. » Il échange aussi avec les acteur.rice.s de terrain et constate le malaise qu’entraînent les nouveaux outils numériques dans les pratiques professionnelles : « Les implications demeuraient très floues. Beaucoup de personnes nous disaient être perdues dans les nouvelles manipulations, entre autres, de communication via les réseaux sociaux mais surtout, elles relevaient un réel manque d’outils pour penser le numérique dans leurs pratiques. »
Dans le secteur social, c’est la destruction des services qui permet d’ériger le numérique comme la solution miracle car offrant une rapidité de traitement des dossiers : « On crée le besoin du numérique en cassant les services sociaux par un personnel en sous-effectif, ce qui entraîne des attentes interminables au téléphone ou dans les files. Ainsi, le numérique paraît être la solution qui permet une rapidité de traitement depuis chez soi et on entre alors dans une société qui veut aller toujours plus vite, où la nécessité d’adaptation est constante. Je crois qu’à un moment on doit dire que ce n’est pas la société que l’on veut. »
Et c’est à travers la création du collectif PUNCH (Pour Un Numérique Critique et Humain) que Pierre Hemptinne a pu étayer ce message. Composé de 12 associations,[2]La Concertation – Action Culturelle Bruxelloise, Action Médias Jeunes, le Centre Librex, le CESEP, le CFS-ep, Culture & Démocratie, le Gsara, la Maison du Livre, et PointCulture … Continue reading le collectif reçoit, depuis 2015, des penseur.se.s, des chercheur.se.s, des associations… qui pensent le numérique et ses impacts. L’objectif ? Permettre aux participant.e.s de se documenter collectivement, de s’approprier les notions et les outils pour comprendre leur portée et agir.
Créer des outils pour être capable d’appréhender le numérique
Passionné de philosophie, Pierre Hemptinne s’intéresse au séminaire impulsé par Bernard Stiegler avec l’IRI (Institut de Recherches et d’Innovations) au sein du Centre Pompidou. Programmé entre 2012 et 2013, le séminaire concernait l’étude du numérique, son impact sur le secteur culturel et, plus particulièrement, au sein des musées. Les recherches du philosophe l’inspirent quant à ses missions au sein de PointCulture. Il décide de fédérer des associations et de créer de la transversalité dans les actions des différent•e•s act•eur•rice•s culturels. En 2015, il propose l’idée d’un cycle de conférences autour du numérique afin que les participant.e.s s’approprient, de manière créative, les problèmes liés à l’environnement numérique : « L’évolution de l’économie du numérique basée sur les GAFAM[3]Acronyme des cinq entreprises les plus puissantes d’internet : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft impacte le quotidien de tout le monde et il n’y a aucune controverse démocratique autour de notre volonté de vivre cette réalité dans notre quotidien. Pour nourrir cette controverse, il est nécessaire de prendre du recul, de détricoter l’idée comme quoi c’est trop complexe ou qu’on ne va pas comprendre, et donc de recréer un espace démocratique qui permette de poser les questions. »
Le principe de démocratie est au cœur du processus du collectif PUNCH. Chacun.e peut venir assister aux conférences, d’intervenir en tant qu’expert.e de son terrain et exposer les problématiques qu’ils.elles rencontrent. Pas besoin d‘être compétent.e ou ingénieur en IT pour trouver sa place dans les échanges. Chaque voix, chaque expérience est légitime : « Au début, le format était pensé autour de la venue d’un.e intervenant.e le matin et l’après-midi était dédié à un séminaire où on invitait les participants et participantes à présenter leur structure, ses missions et les problématiques rencontrées. L’invité.e interagissait et analysait la situation avec la personne et suggérait des pistes de solutions. »
Les premières conférences ont abordé des sujets généraux permettant la compréhension de l’évolution des technologies et du numérique au cours de l’Histoire. Elles ont abordé notamment les algorithmes, les big data, les logiciels alternatifs, et les applications open source : « Le fait de se documenter, de se dire capable et de comprendre est la première étape du changement. » De cette vue et compréhension de l’ensemble s’en sont suivies des réflexions autour des effets que produisent le numérique sur des terrains plus spécifiques comme celui des soins (« Une nouvelle spatialisation des soins » de Alain Loute), de l’action sociale (« Action sociale et objets techniques numériques », Yann Rischette) ou encore des migrations (« Numérique et processus migratoires », Mihaela Nedelcu et Brice Arsène Mankou). L’approche n’est ni technophile, ni technophobe mais cherche à améliorer l’appropriation et le pouvoir d’agir face à ce qui est imposé.
L’ensemble des conférences a permis, entre autres, de nourrir les campagnes de sensibilisation d’associations comme le Gsara[4]Le GSARA est une asbl d’action et de réflexion sur l’audiovisuel. : « Numérisation des services publics : l’envers du décor » ou « Fracture numérique : une ré-éducation permanente » ainsi que la forte mobilisation face l’ordonnance portée par le ministre bruxellois Bernard Clerfayt, orientée vers une implémentation générale du numérique.
Passage aux formations
« Le travail collectif de prise de notes réalisé lors des conférences a permis de proposer un cycle de formations, source de réflexions et d’alternatives, ouvert à un public encore plus large. L’élargissement de l’audience permet d’obtenir un rapport de force politique. En effet, l’une des difficultés consiste à avoir assez de gens intéressés et prêts à changer. »
Avec la restructuration du PointCulture, la fin du financement des intervenant.e.s et les divers confinements, la nature des activités de PUNCH s’est orientée vers une démarche d’éducation permanente. L’expérience acquise grâce aux conférences et l’urgence de la situation ont amené le groupe à focaliser les temps de rencontres sur les pratiques de terrain.
Le cycle de formations permet de penser ce qui affecte le secteur et répond à une réelle demande du terrain, de développement d’un pouvoir d’agir face aux outils et pratiques imposées : « Aujourd’hui, étant à la pension, je me suis retiré du collectif mais ce dernier continue de vivre et organise des événements très en phase avec ce qu’il se passe sur le terrain. Ce que j’apprécie grandement, car le dispositif précédent ne permettait pas assez d’horizontalité au niveau de l’appropriation et du partage de connaissances. Avec la phase de formation, on assiste à l’alliance de deux dimensions : prendre en charge et maîtriser des sources de savoirs de qualité pour ensuite produire de l’appropriation plurielle, diversifiée et horizontale. »
La question des communs
Depuis la création du Collectif en 2015, les questions du numérique, de son utilisation, de son impact sur l’environnement ont beaucoup évolué. Le digital continue son développement effréné, concerne de plus en plus de domaines et s’installe toujours davantage dans notre quotidien.
Le rouleau compresseur a avancé et nous sommes face à l’urgence de modifier notre système économique.
Pour Pierre Hemptinne, la numérisation des services sociaux et culturels est un outil du néo-libéralisme qui nourrit l’individualisme : « Le rouleau compresseur a avancé et nous sommes face à l’urgence de modifier notre système économique. L’impact du numérique au niveau climatique est tout à fait monstrueux. Pourtant, on entend toujours des discours rapportant que c’est la technologie qui va nous sauver. Fondamentalement, je pense que le numérique renforce les comportements individualistes alors que le changement de société vers lequel on doit aller, demande beaucoup de contacts, de discussions et de nouvelles habitudes de sobriété. Je suis d’accord que les outils numériques permettent aussi d’avoir des contacts faciles, d’échanger sur des types de projets différents mais ce que je trouve effrayant, c’est le traitement des données personnelles. Aujourd’hui, elles sont une matière première capitalisée, exploitée par quelques entreprises privées alors qu’elles devraient entrer dans une logique des communs. »
Les données personnelles, qu’est-ce que c’est ?
Elles représentent les données que nous semons lors de notre navigation sur internet et qui sont récoltées par des entreprises à des fins commerciales pour une définition toujours plus précise du profil de chaque consommateur.rice que nous sommes.
La logique des communs qu’aborde ici Pierre Hemptinne fait référence à une théorie popularisée par Ellinor Ostrom, prix Nobel d’économie en 2009, dans laquelle les communs sont définis par des modes d’organisation des ressources collectives. C’est d’ailleurs le sujet de la première conférence de PUNCH où s’exprimait Christian Laval. Spécialisé dans l’étude des communs, Christian Laval a réalisé plusieurs travaux et ouvrages à propos du néo-libéralisme, de la mondialisation et de la critique de l’économie politique.
Lors de sa conférence « Le numérique fabrique-t-il des communs ? », il s’est appuyé sur des initiatives locales, comme les Nuits Debout en France,[5]Mouvement social de convergence des luttes suite à la loi Travail, en 2016 qu’il a identifiées comme des expressions de rébellions illustrant la volonté de trouver de nouvelles manières de gérer l’économie et l’Etat.
Ces actions sont, pour Christian Laval, du ressort des communs. Leur apparition traduit un principe politique nouveau qui rend compte d’un refus des individus à être considéré.e.s comme des êtres régis purement et simplement par les lois du marché. Ce sont bien d’autres manières d’être en société qui sont défendues au travers de la solidarité, du vivre ensemble et de la mise en commun.
En quoi des mobilisations sociales peuvent-elles être considérées comme des communs ?
La pionnière des recherches sur le sujet, Ellinor Ostrom, a mis en évidence que dans de nombreux endroits survivaient des pratiques collectives très organisées, rendant efficaces et durables l’exploitation des biens collectifs, allant à contre-courant du discours néo-libéral qui prêche l’égoïsme de l’être humain et l’échec, de par son incapacité à respecter des règles collectives, de toute tentative de gestion de biens communs.
Ainsi, les communs concernent autant les ressources naturelles, tels que les lacs, l’air, les forêts… que les connaissances, les informations ou encore le numérique. Toujours d’après les recherches d’Ellinor Ostrom, les communs sont régis par trois indispensables :
- Une institution définie par un système de règles que construit une collectivité pour exploiter une ressource.
- Un ensemble de pratiques de mise en commun comme l’entretien, l’exploitation ou la réparation de cette ressource.
- L’organisation de cet usage collectif. En cela, l’usage collectif de communs peut concerner des petits groupes mais aussi une ville, un pays ou encore le monde, si l’on pense au climat.
La machine néo-libérale souhaite rendre la moindre chose productrice de profits, comme le prouve la brevétisation infernale des connaissances, des domaines de la vie et de la nature, alors que la logique des communs implique la possibilité d’un accès gratuit pour toutes et tous. Christian Laval parle alors de « dilatation » du concept des communs, des « news commons ». A l’opposé des logiques capitalistes, les communs fonctionnent suivant les règles de coopération. Pour reprendre ses mots, lors de son intervention : « Il s’agit de mettre en place des règles qui permettent à ce que les connaissances puissent être partagées et diffusées sans que personne n’en soit privé. »
Lors de la conférence du 21 février 2017 titrée « Internet – entre construction des communs et machine à rumeurs », Hervé Le Crosnier définit un commun à travers l’activité sociale qui se joue autour de lui, autour du processus de « faire ensemble ».
Pour lui, les communs sont un modèle de gestion de conflits, le partage se traduit par vouloir le bien de l’autre, l’aider à construire un nouvel imaginaire ou des utopies positives.
Au travers de ses missions d’émancipation, créer des utopies positives peut être considéré comme une des missions de l’éducation permanente. Pierre Hemptinne y fonde beaucoup d’espoirs pour l’avenir : « Pour moi, l’une des grandes solutions est d’investir massivement dans l’éducation permanente pour qu’il y ait beaucoup plus de personnes investies à réaliser un travail d’émancipation sur le terrain. C’est à cet endroit que les gens développent des ponts qui répondent aux besoins du terrain. La réflexion doit tourner autour d’un numérique en adéquation avec le changement de société que l’on souhaite.»
Numérique et éducation permanente
L’Education permanente voit également ses pratiques évoluer à travers le numérique. La pandémie mondiale et les différents confinements, en nous coupant de tous liens aux autres, ont accéléré ces bouleversements avec l’utilisation massive d’outils digitaux dans le but de maintenir les relations avec les usager.ère.s.
On peut définir l’éducation permanente comme l’ensemble des activités d’apprentissage entreprises tout au long de la vie dans le but d’améliorer les connaissances et compétences personnelles, civiques et sociales, d’assouvir un besoin de développement individuel et collectif.
En 2021, la FESEFA[6]FESEFA : Fédération des Employeurs des Secteurs de l’Éducation permanente et de la Formation des Adultes s’est adressée à Jean Blairon (chercheur au sein de l’asbl namuroise RTA)[7]Asbl RTA : Réalisation Téléformation Animation afin de réaliser une recherche[8]Jean Blairon, 2021, L’éducation permanente dans la crise sanitaire : quelle évaluation de sa relation au « numérique » ?, Intermag concernant l’impact des outils numériques mis en place, en Éducation Permanente, durant la pandémie de Covid. Des professionnel.le.s de PointCulture, du Gsara, du centre Librex,[9]Centre Régional du Libre Examen du CESEP[10]Centre Socialiste d’Education Permanente et des CEMEA[11]Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Education Active ont participé à l’étude par le biais de plusieurs ateliers, matière première de réflexion dont différents constats ont émergé.
Le premier rend compte d’une « non-maîtrise des conditions d’égalité concernant l’accès aux pratiques du distanciel ». Ce constat entraîne la question de savoir : qui est absent et qu’est-ce que l’on perd lors de l’usage de ces outils ?
Le recours à ces derniers, imposé par les circonstances de confinement, représente un substitut « aux actions qui étaient interdites » (les regroupements). Qu’en est-il donc, maintenant que les libertés ont été rétablies ? L’idéologie dominante préconise de continuer à utiliser les outils numériques et poursuit une course à la digitalisation, impactant toujours davantage les services publics. Cette vision uniforme est-elle réellement l’unique ? N’y a-t-il pas d’autres voies à explorer ? Jean Blairon propose de revenir aux fondamentaux de l’éducation permanente, face à ce « biais logique » qui laisse à penser qu’aucune autre solution n’est possible.
En effet, de par la forme particulière de ses réflexions, qui trouvent leur inspiration dans les besoins exprimés par les terrains, bien souvent populaires, l’Éducation permanente est un cadre d’expérimentations politiques. Elle crée du collectif là où l’individualisme offre un espace de destruction des droits, elle permet d’imaginer de nouveaux possibles, de se sentir plus à même de mener des combats, de porter des idées… Pensons aux associations qui proposent des itinéraires originaux de découverte de la ville, qui défendent l’égalité des genres ou des espaces sauvages, qui organisent des rencontres intergénérationnelles…
Le numérique est là, oui, mais définissons lui un usage adéquat et non un “usage social”[12]Jean Blairon, 2021, L’éducation permanente dans la crise sanitaire : quelle évaluation de sa relation au « numérique » ?, Intermag, p.20 au détriment des actions politiques.
Ainsi, Jean Blairon conclut : « L’éducation permanente ressortit […] aux enjeux centraux du monde du travail contemporain : les conflits qui se posent en matière de traitement de l’information et en matière de relation de service. […] A ce titre, l’éducation permanente est plongée dans les conflits centraux qui traversent le monde du travail et peut y jouer un rôle d’innovation. »
C’est ce qu’il indiquait également lors de la conférence[13]Podcast Punch : « Bientôt deux ans d’éducation permanente sous Covid, et maintenant ? » – A écouter sur Audioblog – PUNCH, « Pour Un Numérique Critique et Humain » … Continue reading tenue le 11 mai 2022, à propos des résultats de son étude : « Ce qui est important pour moi au sein de l’Education permanente, c’est l’expérimentation libre et je ne comprends pas pourquoi ceux qui souhaitent expérimenter ne seraient pas libres de le faire. C’est une manière de penser isolée qu’il faut défendre. »
L’ensemble des conférences PUNCH sont à retrouver sous forme de podcast sur la chaîne Youtube de PointCulture ou l’audioblog d’Arteradio.
Notes de bas de page[+]
↑1 | Johan Faerber : « Parcoursup, c’est la maltraitance numérisée », 19 janvier 2023, Libération |
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↑2 | La Concertation – Action Culturelle Bruxelloise, Action Médias Jeunes, le Centre Librex, le CESEP, le CFS-ep, Culture & Démocratie, le Gsara, la Maison du Livre, et PointCulture Bruxelles. |
↑3 | Acronyme des cinq entreprises les plus puissantes d’internet : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft |
↑4 | Le GSARA est une asbl d’action et de réflexion sur l’audiovisuel. |
↑5 | Mouvement social de convergence des luttes suite à la loi Travail, en 2016 |
↑6 | FESEFA : Fédération des Employeurs des Secteurs de l’Éducation permanente et de la Formation des Adultes |
↑7 | Asbl RTA : Réalisation Téléformation Animation |
↑8 | Jean Blairon, 2021, L’éducation permanente dans la crise sanitaire : quelle évaluation de sa relation au « numérique » ?, Intermag |
↑9 | Centre Régional du Libre Examen |
↑10 | Centre Socialiste d’Education Permanente |
↑11 | Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Education Active |
↑12 | Jean Blairon, 2021, L’éducation permanente dans la crise sanitaire : quelle évaluation de sa relation au « numérique » ?, Intermag, p.20 |
↑13 | Podcast Punch : « Bientôt deux ans d’éducation permanente sous Covid, et maintenant ? » – A écouter sur Audioblog – PUNCH, « Pour Un Numérique Critique et Humain » (arteradio.com) |