Coopérer entre acteurs autour du jeune
John Cultiaux était chargé de lancer le débat. L’exercice consistait pour lui à présenter les grandes lignes d’un rapport dont nous avons déjà fait la promotion par ailleurs en tant qu’« étude Le GRAIN 2017[1] ». S’il est possible de résumer les apports d’une recherche de trois ans en quelques lignes, voici ce sur quoi le sociologue avait choisi d’insister pour susciter les réactions de l’assemblée.
1/ L’école reste pour tous extrêmement importante, personne ne remet cela en question. L’école en tant qu’institution permet d’accéder au marché du travail et joue un rôle de premier plan en ce qui concerne la construction identitaire de tout un chacun. Ce n’est pas l’école qui pose problème mais son fonctionnement. Distinguons l’école de son fonctionnement.
2/ La violence à l’école est omniprésente et elle touche tout le monde : les parents quand ils ne sont pas pris en compte par les enseignants, les enseignants qui pâtissent souvent de piètres conditions de travail, les jeunes qui très souvent ne se sentent pas écoutés,…
3/ Le décrochage scolaire n’est pas à analyser comme le fait d’enfants qui veulent s’affranchir de l’école. Le problème est systémique, il ne suffit pas de l’aborder du point de vue des parents ou des jeunes, il faut regarder le système dans son ensemble. Le décrochage scolaire est un symptôme, le symptôme que quelque chose ne fonctionne pas… On ne peut sortir du décrochage scolaire que si on prend en compte le système dans son ensemble. Par les témoignages, on comprend que « C’est toujours un peu la faute de l’autre ». Donc, ce n’est la faute de personne. Le problème provient du fonctionnement du système.
Pour sortir de l’impasse, il faut renouer le lien social de coopération. La coopération, ce n’est pas la même chose que la collaboration ni que la coordination, nous rappelle John Cultiaux, s’inspirant de Christophe Dejours. Pour celui-ci, la coopération se trouve dans le lien que construisent entre elles des personnes en vue de réaliser volontairement une œuvre commune.
Ce qu’il faut c’est viser la coopération, et pour y parvenir, chaque partie prenante doit s’investir subjectivement, et doit avoir envie que les autres réussissent.
Or, nous dit Christophe Dejours, il ne peut y avoir de coopération sans la présence de trois ingrédients incontournables :
- La confiance. Chacun doit savoir ce qu’il peut attendre de l’autre, et ne pas attendre de lui. La confiance se construit au travers de moments où on peut s’entendre et s’écouter.
- La reconnaissance : c’est le sentiment que dans le groupe que nous formons, j’ai quelque chose à faire… Les interactions sont des opportunités de connaître l’autre, de reconnaître l’autre et de le lui montrer.
- Du temps : si on ne prend pas le temps, le lien de confiance ne peut pas se construire.
L’importance de trouver des espaces et des temps pour créer la confiance et la reconnaissance était très présente lors des échanges au débat citoyen organisé en 2017[2].
A l’école, les espaces formels de rencontre ne manquent pas, comme les réunions de parents, les fancy fairs… Ce sont des espaces institués. Toute la question à se poser, selon John Cultiaux, est la suivante : comment ne pas ritualiser, comment ne pas être dans la routine, dans ces moments-là ? Comment accompagner l’enseignant dans l’accueil qu’il peut faire aux familles ? Comment se saisir d’espaces qui sont déjà là, non comme une obligation mais comme une opportunité, prendre le temps et reconnaître ce temps d’échange, comme du temps pour l’école et pour le jeune ? Ce sont des questions institutionnelles. La démarche ne peut pas fonctionner s’il n’y a pas de reconnaissance de l’importance de ces espaces de rencontre pour enclencher un lien de coopération.
Si, dans certains milieux scolaires, on ne reconnaît ne pas que faire du lien c’est aussi travailler pour le jeune, il y a peu de chance que les choses évoluent. Il faut oser remettre en question le fonctionnement de l’école, non pas pour se complaire dans la plainte, qui est légitime mais peu constructive, mais dans une attitude critique, afin de produire des propositions pour dépasser les blocages, tout en gardant à l’esprit qu’il n’y aura pas de solutions miracles : l’ouvrage sera constamment à remettre sur le métier et pour le travail avance, il convient de s’appuyer sur ce qui fait sens, sur les expériences positives… Mettons en avant ce qui va bien.
Faire équipage autour du jeune
Après la présentation succincte du rapport de recherche, c’était au tour de la représentante du Centre pédagogique Paroles de venir présenter son point de vue sur la question des liens entre familles et écoles dans les quartiers populaires. Samira Azzouz confirme la centralité de l’institution école quand il s’agit de l’avenir des jeunes : tous les ans, les parents font la queue au centre pédagogique Paroles pour inscrire leur enfant dans cette école de devoirs, comme si leur vie en dépendait. Malheureusement, les places sont limitées, et pour certains, c’est le désespoir. Les jeunes quant à eux sont la plupart du temps en perte de sens totale par rapport à l’école. Ils pensent que s’ils n’ont pas leur CEB ils vont rater leur vie, et en même temps, ils ne comprennent absolument pas ce qu’ils font sur les bancs de l’école. Leur vécu scolaire est souvent difficile, ils ne se sentent ni écoutés ni reconnus par les professionnels de leur école… Alors, le centre pédagogique Paroles va la plupart du temps rouvrir des espaces de paroles et d’échanges pour permettre au jeune de se sentir non seulement écouté, mais réellement pris en considération. La pression est ôtée, les enjeux sont dédramatisés, jusqu’à ce que le jeune puisse au final construire son propre projet scolaire, son propre projet de vie. Cela prend du temps, et cela ne fonctionne pas à chaque fois, mais Samira constate qu’au bout de quelques mois, souvent la « sauce » prend, et les jeunes se présentent spontanément, par exemple aux ateliers de méthodologie qui ont lieu le vendredi soir, sans qu’il y ait besoin de le leur rappeler. L’ASBL Paroles organise également des activités de soutien à la parentalité, pour accompagner les parents dans leur difficile mission, et pour les rendre partenaires de la démarche. Par les témoignages qu’ils apportent quant à leur vécu familial, ils permettent aux professionnels de Paroles de mieux connaître leurs enfants et donc de les accompagner avec encore davantage d’à propos. Une maman qui avait bénéficié de l’accompagnement de l’ASBL Paroles, est intervenue pour livrer son poignant témoignage :
Avec mon fils, à un moment donné, j’étais dépassée. C’était mon quatrième enfant… Tout ce que je disais, il le contredisait. Il me disait que je ne savais rien. Je me suis sentie dépassée. Grâce à une amie, j’ai connu le Centre Pédagogique Paroles. Samira lui a proposé de s’inscrire aux activités de préparation du CEB… Mon fils était contre, il disait que je lui faisais perdre son temps… Ça a été ma bouée de secours ! Si je n’y avais pas inscrit cet enfant, qui avait 11 ans à l’époque, qui était scolarisé dans le spécialisé, je crois que je l’aurais perdu. Perdu dans le sens relationnel… Et pourtant je n’étais pas une mauvaise mère, j’avais eu trois enfants qui s’en étaient bien sortis, mais les professeurs et éducateurs me renvoyaient que je ne faisais pas bien mon travail de mère. On aimerait qu’on nous croie quand on dit qu’on fait tout ce qu’on peut. On a besoin d’être reconnus, sinon on a l’impression que les gens nous regardent comme si on était des parents incompétents. On voudrait prouver qu’on a fait ce qu’on a pu. (Une maman)
En ce qui concerne les relations avec les écoles, elles semblent plus difficiles à établir pour le centre pédagogique Paroles. Les horaires de travail ne sont pas les mêmes, la communication directe est parfois difficile à établir, alors je jeune sert de relais pour faire le lien entre l’ASBL et son école, ou les éducateurs de Paroles passent par les journaux de classe. L’organisation école est distante. Une des participante à notre matinée, médiatrice entre parents et écoles en charge de la communication avec les enfants et les jeunes atteints de surdité, se demande s’il ne serait pas intéressant de prévoir un seul référent éducatif auprès du jeune, une personne qui ferait le lien entre écoles, parents, jeunes et tiers.
Il y a un fossé entre l’école et ce qui entoure l’école, on ne se dit pas, « Au centre, il y a l’enfant », peu importe ce qu’il faut pour que l’enfant soit au centre. Dans mon cas, d’un point de vue pratique, les écoles, pour contacter les parents, doivent passer par moi, parce que c’est la langue des signes. Mais je sais que dans l’enseignement classique, ce n’est pas le cas. En tant que professionnels, chacun doit se décarcasser et parfois on mène deux actions à deux endroits différents… Pourquoi ne pas remettre du lien entre les institutions qui ont l’enfant comme centre de réflexion ? (Une médiatrice scolaire pour enfants sourds)
La violence, lien omniprésent
La matinée avait pour objectif de laisser une place importante au partage d’expériences entre les participants. Assis en cercle, ils et elles ont, l’un après l’autre, eu l’occasion de dire ce que ces constats évoquaient pour eux.
Les témoignages allaient dans le sens de ce qui avait été évoqué juste avant par John Cultiaux : la violence a toujours, peu ou prou, fait partie du vécu scolaire : certains des parents ou enseignants réunis ont évoqué leurs expériences douloureuses, durant l’enfance ou à l’occasion de l’exercice de leur métier. Quand un enfant subit la violence de ses pairs, il est rare que les adultes et enseignants prennent sa situation au sérieux. Ils préfèrent ne pas s’en mêler. Tous les participants se sont accordés pourtant pour dire deux choses : la violence n’est pas inéluctable et il existe des écoles où il fait bon vivre. Le cliché selon lequel seules les écoles de quartiers populaires sont concernées par la violence a été battu en brèche.
En tant qu’enseignante, j’ai fait deux écoles différentes, une école professionnelle à Etterbeek où on forme essentiellement des puéricultrices, et une école huppée de Woluwé, où on forme des enfants de diplomates et d’ambassadeurs… Je ne me suis jamais sentie aussi mal que dans cette école-là, je me suis sentie dès le départ jaugée des pieds à la tête. On me disait presque persona non grata parce que je ne ressemblais pas aux autres : « Tu ne t’habilles pas comme nous… » Ça a posé un gros problème dans la classe elle-même, les élèves étaient en compétition entre eux, les élèves étaient motivés, mais cela s’est extrêmement mal passé. Ensuite, dans l’école professionnelle, total changement de décor ! On vous prend comme individu unique, ce que vous êtes-vous, pas de jugement sur l’apparence, sur le CV… On prend la personne telle qu’elle est et on l’intègre dans le groupe. Les élèves sont aussi accueillis comme ça, je n’ai jamais vu un seul acte de violence dans cette école… (Une enseignante).
La violence fait pourtant toujours mal, et elle a un impact très négatif sur la motivation des enfants à continuer d’apprendre à l’école. Elle vient parfois de l’environnement lui-même, voitures bruyantes et polluantes dans le quartier où se trouve l’école par exemple, ou dans l’exploitation économique que subissent les parents qui rentrent ensuite « cassés » de leur journée de travail et n’ont plus la force de se consacrer au suivi scolaire de leurs enfants. La violence vécue par les enfants à l’école se prolonge ensuite lors des activités extrascolaires, comme en témoigne un éducateur.
Elle est inévitable et omniprésente, mais il est possible de la gérer, de l’atténuer. Certaines écoles ont mis depuis longtemps en place un mode de fonctionnement et d’accueil, de gestion des incivilités qui fonctionnent, tandis que d’autres s’activent pour améliorer l’accueil des élèves du premier degré, repeindre les locaux, organiser des petits déjeuners avec les parents, et se coordonner avec les associations du quartier pour assurer un meilleur suivi des jeunes menacés de décrochage scolaire.
Dans une école de Schaerbeek, qui allait très mal jusqu’il y a peu, on est en train de construire, avec l’aide du FSE, un dispositif interne d’accrochage scolaire. Plusieurs acteurs s’unissent pour créer les conditions qui redonneront l’envie aux jeunes de retourner à l’école… Le directeur s’implique, les éducateurs aussi (…) On accueille mieux les premières secondaires par exemple, on fait des jeux de piste, des petits déjeuners… C’est compliqué, parce que les élèves rentrent au compte-goutte, on attend le 15 octobre pour que tout le monde soit rentré, ce qui est important c’est la rencontre… se présenter aux parents… Toutes ces petites choses qui font que ça avance, ça prend du temps, mais comme la direction s’implique, ça marche… On organise une réunion par semaine avec les acteurs internes et une fois par mois avec les acteurs externes… (Un travailleur social)
Conclusion : Faire école autrement
Le but de la matinée n’était pas réellement de rechercher des solutions aux problèmes d’école mais plutôt de faire ce qu’on dit et de dire ce qu’on fait : prendre le temps de faire connaissance, de se parler entre professionnels actifs dans un même lieu et dans un même champ, celui de l’éducation des jeunes, de rallier enfin un nombre plus important de personnes aux activités du groupe Adoquartier[3].
Un certain nombre de voies d’action ont cependant été explorées, parmi celles-ci :
Prendre en compte l’affectivité des jeunes
L’impact négatif des émotions négatives sur les facultés d’apprentissage sont encore trop souvent ignorées par les enseignants. Or, elles naissent à l’occasion de ces expériences violentes répétées qui émaillent le parcours de trop nombreux enfants. Boris Cyrulnik a montré qu’il était important, en cas de vécu traumatique, de trouver des personnes, dans l’entourage, pour mettre des mots sur ce qui a été vécu, et qu’en fonction du récit qui aura été fait au sujet des événements, la personne pourra, ou non, passer outre le traumatisme pour reprendre son développement. Dans les écoles, former les enseignants à repérer et intervenir sur les situations de violence et les ressentis qu’elles génèrent pourrait donc constituer une réponse.
Dévoiler la violence institutionnelle latente au sein de l’institution école
Sandrine Grosjean, travailleuse et militante de l’ASBL Changement pour l’égalité (CGé), nous a rappelé que « L’école a deux fonctions dans la société : instruire – c’est la fonction officielle avec laquelle on est tous d’accord- et une fonction latente qui est d’orienter, de sélectionner, de trier : toi, tu as les bons codes et toi non. Ça fait partie de l’institution scolaire et ça ne devrait pas, on a envie d’une société où ça n’existerait pas, les profs embrayent à ça, sont porteurs de ça et c’est une violence incroyable… John disait qu’il y a des attentes par rapport aux enfants de se comporter de telle et telle façon et comme ils ne le font pas on les rejette, cette violence-là est puissante, si on pouvait la dévoiler, mettre des mots dessus et en parler au jeune, cela serait une piste pour faire bouger le système… ». C’est en effet ce que nous tentons de faire, au GRAIN, depuis de nombreuses années déjà…
Favoriser la liberté pédagogique des écoles
L’enseignement belge francophone fonctionne comme un quasi-marché où l’exclusion sévit en cascade : les élèves « qui ne suivent pas » ou n’ont pas le comportement jugé adéquat sont éliminés des « bonnes » écoles et, puisque l’enseignement est obligatoire, orientés vers des établissements « moins bons », et ce, parfois, à plusieurs reprises au cours de leur parcours scolaire… Ces « mauvaises » écoles finissent pas servir de repoussoir, n’attirent plus aucun élève disposant d’un minimum de capital social, et tout le monde, personnel enseignant, éducatif, et élèves finit, la plupart du temps, démoralisé, démissionnaire ou délinquant. C’est à ce moment que le décrochage est à son comble et que l’école se voit désignée comme « en écart de performance » par rapport aux résultats moyens des écoles du même quartier, et qu’elle se voit sommée de mettre en œuvre un « plan de rattrapage »… Qui va canaliser son action vers un maximum de suivi administratif… Que les jeunes ne vont ni comprendre ni accepter, et qui se fera, c’est un grand risque, au détriment des actions pédagogiques, bien plus porteuses[4], à mettre en œuvre.
Améliorer le travail en réseau autour du jeune
Dans certains cas, les intervenants éducatifs autour du jeune se font nombreux : parents, enseignants, AMO, écoles de devoirs, psychologues… Il est parfois difficile de savoir qui prend en charge quoi, ce qui a déjà été fait, etc. Et chacun se renvoie la balle et se renvoie le jeune comme une balle de ping-pong… Selon John Cultiaux, il est important de cesser d’incriminer l’autre (le parent quand on est enseignant, l’enseignant quand on est parent, par exemple) pour se concentrer chacun à atteindre un objectif que l’on juge juste. Travailler le social en réseau n’est pas toujours simple, mais certains secteurs ont connu des avancées en la matière, comme par exemple le secteur de la personne handicapée, qui a récemment réalisé une recherche-action porteuse en ce sens[5]. Dans le secteur des personnes âgées dépendantes, on a par ailleurs créé un nouveau métier, celui de référent, qui coordonne les soins, nous rappelle une participante. Alors, pourquoi pas l’envisager autour du jeune ?
L’action politique
Encore et toujours, l’action politique : interpeller sur les injustices, les iniquités qui minent le système scolaire, sa violence institutionnelle… A ce propos, Changement pour l’égalité (CGé) nous informe qu’une coalition de parents issus de milieux populaires est en train de se constituer. Elle suivra la mise en œuvre du Pacte pour un enseignement d’excellence afin qu’il déploie ses effets sans perdre de vue les intérêts des familles de milieux populaires… A suivre !
NOTES / REFERENCES
[1] CULTIAUX, J. et HUYBRECHT, D., Les ados entre famille et école, quels chemins ? Retour sur trois années d’échanges au sein du Labo participatif de quartier « Labo Adoquartier ». Le GRAIN, 2017, en ligne sur http://www.legrainasbl.org.
Cette étude présente les principaux apprentissages et les principales propositions issues d’une recherche conduite par l’ASBL Le Grain de 2014 à 2017, à l’initiative du projet de prévention « Adoquartier ». Il s’agissait pour les uns et les autres de comprendre « pourquoi les jeunes de ces quartiers étaient surreprésentés dans les statistiques des taux d’échecs et de décrochage scolaire et dans les orientations vers l’enseignement spécial, sont confrontés à la discrimination sociale et ethnique et peinent à trouver du sens et à se projeter dans les mondes qu’on leur propose.»
[2] Comment construire du lien entre parents, jeunes et enseignants ? – débat citoyen, mercredi 17 Mai 2017 – centre scolaire Sainte-Marie La Sagesse, Schaerbeek.
[3] Le groupe est constitué actuellement d’une dizaine de personnes (santé mentale, santé, éducation, AMO) qui se réunissent tous les troisièmes jeudis du mois à 13h30 au SSM Le Méridien et échangent sur un cas amené par un participant à l’aide de la méthode GEASE. Le groupe d’intervision peut se déplacer à la demande.
[4] A l’heure où nous rédigeons ces lignes, nous sommes en train de lire l’ouvrage de Bruno Derbaix, récemment sorti, qui propose des pistes très concrètes pour faire des conflits à l’école… Une ressource pédagogique !
Voir DERBAIX, B. Pour une école citoyenne. Vivre l’école pleinement, Bxl-Paris, Editions La boîte à Pandore, 2018, 329 pages.
[5] CULTIAUX, J. MEHAUDEN, L., DARQUENNE, R. Travailler en réseau intersectoriel autour de la personne handicapée et d’autres publics. Apport final. En ligne sur https://orchisaf.files.wordpress.com/2016/12/vade-mecum-du-travail-en-reseau-intersectoriel.pdf